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Isabelle Cavalleri
Je travaille par séries qui ne sont jamais closes. Elles seraient plutôt comme les pièces d’une maison que l’on habite selon le moment.
Elles parlent toutes de notre fragilité, de notre impuissance ou de notre maladresse. Mais aussi de ce qu’on ne peut nous enlever : nos pensées. Cet espace infini qui s’ouvre à l’intérieur de nous et qui, alors même que notre enveloppe est malmenée, subsiste.
dessin contemporain
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